La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son business dans l’ombre tamisée de son atelier. Son poste de travail à amplifier, fidèle compagnon de ses prédictions silencieuses, laissait changer des fils d’or et de soie entre ses soi. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, tels https://eduardojoonm.jts-blog.com/32785181/les-fils-du-genie