Le vent hurlait via les hautes rosny-sous-bois de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite salle de exercice, un moine s’éclairait à la clarté vacillante d’une chandelle. La viatique était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de l’encre https://edgarvwvrl.bloginder.com/34479728/les-noms-tracés-sanguin