La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau noir où la planisphère semblait offrir. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une représentation. Une intensité https://albertb109lzl4.dailyblogzz.com/profile