Les jours passaient dans un cours immuable, coordonnés à l'éclairage pâle du nord et les chambardements ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient doucement, en spirale, tels que si le ciel lui-même les aspirait à bien estampiller des signaux surnaturels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait n'importe quel matin au foyer https://lorenzovaayv.bloggosite.com/41135007/le-cercle-sinistre